• Mes peurs de maman

     

    Salut tout le monde ! ♥

    J'espère que vous allez bien. Je suis en train d'écouter un épisode de l'émission "ça commence aujourd'hui" tout en buvant mon cappuccino caramel. Erwan aura 2 semaines demain. Mon mari reprend le travail le mardi 11 mai. Et même si j'aime mes enfants de tout mon cœur. Je suis terrifié à l'idée d'être seule avec eux. Pas que je ne sache pas m'en occupé. Loin de là. Mais le temps. J'ai égoïstement peur de ne pas trouver du temps pour moi. Mais aussi pour chacun.e. Un bête exemple de contexte que j'ai peur de vivre. J'ai peur de me réveiller le matin. D'entendre Rose se réveiller. Et Erwan se réveiller en même temps. J'aurai tendance à m'occuper d'Ewan en premier car il est plus petit et n'a pas le même recule des choses. Rose me connaît mieux. Et anticipe mieux les choses. Mon mari me rassure et me dit que je vais assurer. Mais je me sens encore très fragile. Bêtement, le 29 avril, voilà 1 an que maman mourrait. Et le mélange post partum et journée de deuil... C'est vraiment de la merde. S'il y a d'autres parents qui me lisent. Comment avez-vous vécu la venue d'un nouvel enfant dans la famille ? Avez-vous des conseils à me donner ? :) Je suis vraiment preneuse. Des astuces logistiques. etc... 

    J'ai été ravie de vous partager le récit de mon accouchement de Rose. Je vais bientôt vous raconter celui d'Erwan qui a été très différent sur bien des points. Du positif comme du négatif. 

    La semaine passée, j'ai pu faire un peu moins de 2 heures de live. Mais je ne sais pas si je pourrais en faire aussi souvent. Je vais essayé d'en faire des court en soirée. Car je n'arrive pas à prévoir un rythme de sieste pour Erwan. 

    Je me rends bien compte que j'ai un gros besoin de me chouchouter pour le moment. Je me réjouis de pouvoir reprendre des bains. ♥ Ma sage-femme m'a dit que je pourrais rependre des bains la semaine prochaine. (3 semaines après un accouchement)

     


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  • Mon premier accouchement

     

    Au départ, mon homme et moi avions envie de garder ce moment si particulier pour nous. Mais vous le raconter dans un article ici, n'est tout de même pas la même chose que de le vivre. Je pense que l'accouchement fait partie des "expériences" uniques qu'il faut vivre pour en comprendre toute l'intensité.

    Ma petite Rose est née le lundi 10 décembre 2018 à 12h12. Cela au bout de 16 heures de travail et de 2 jours de pré-travail... C'est que ça en met du temps de pondre une si belle petite merveille ! Ma fille était à la base prévue pour le samedi 15 décembre. Je ne sais pas si les autres personnes qui me liront ont vécu ça. Mais dés les 37 semaines d'aménorrhée, on décompte les jours ! On se dit que bébé peut arriver à tout moment. Et limite, on essaie de tout faire de façon plus ou moins consciente pour qu'iel vienne plus tôt. ça a été mon cas pour les 2. 

     

    ♦ La fausse alerte 

    Le matin du samedi 8 décembre, après avoir contracté pas mal dans la nuit, je me vois encore prendre mon chronomètre dans mon app Grossesse + pour minuter les contractions. Une toute les 7 minutes. Je propose à mon chéri d'aller à la maternité. Elle n'était pas loin. Mais je voulais être sûr d'être dans les temps. Et puis, mon homme bossait loin. Et j'avais peur de me retrouver seule chez moi en plein vrai travail. Et de ne pas savoir quoi faire. Je suis un peu nounouille quand je panique ! Nous arrivons donc à 9h30 du matin à la maternité. On me fait un monito durant une heure. (C'est-à-dire qu'on sangle mon ventre avec des capteurs. Ceux-ci captent le cœur du bébé et l'activité utérine. Si vous avez des contractions, ça se voit donc au monito.)  Je sens qu'une fois couchée avec le monito, les contractions se calment. Une sage-femme m'ausculte. Rien... Le col commence tout juste à s'effacer... Je suis déçue.

    L'après-midi, nous allons chez mes beaux-parents. Ma belle-sœur, qui est maquilleuse m'a fait un belly painting. D'ailleurs, si vous cherchez une maquilleuse pour ce genre de projet, n'hésitez pas à la contacter ! Elle adorerait faire davantage ce genre de maquillage ! Vous pouvez consulter son instagram pour vous faire une idée de sa patte.

     

    Mon 1ier accouchement - Bienvenue petite Rose

     

    Les contractions reviennent dans l'après-midi. Mais elles ne sont pas régulières. Le soir, nous allons nous faire un ciné. Durant la nuit, les contractions commencent un peu à pincer. Je dors mal... Dimanche, j'ai très envie de retourner à la maternité. Mais j'ai peur qu'on me dise que le travail n'a pas encore commencé. Je passe donc mon dimanche sur mon ballon d'exercice à faire des 8, tout en buvant du thé et en montant des vidéos. (J'étais toujours active sur Youtube à cette époque.)  J'avais tellement peur d'accoucher dans les jours qui suivaient que j'ai monté 12 vidéos cette journée-là. Le soir arrive, les contractions se rapprochent. Je les chronomètres. Environ toute les 7 minutes. Comme nous étions hésitant.e.s sur le fait de nous rendre à la maternité ou pas, nous avons téléphoné à ma belle-mère. La mère de mon mari travaille en maternité depuis de longues années. Et elle a donc beaucoup d'expérience. Si j'avais peur et que ça me stressait, il ne fallait pas que j'hésite à y aller. Nous allons de nouveau à la maternité.

     

    ♦ Le début du travail 

    Nous arrivons aux urgences de la clinique. Car il était passé 20h. On nous dirige à la maternité. Rebelotte ! Monito ! Les contractions ne se voient toujours pas. Mais je les sens bien. Les sage-femmes se rendent compte de mon désarroi. Elles me proposent d'aller marcher une heure. Histoire de voir si le travail ne se déclenche pas. Nous voilà donc mon mari et moi, à marché à 22 heure sur le parking de la clinique dans le crachin de décembre. Je marche lentement, sur l'heure, les contractions se font plus intenses. Et je commence à avoir mal. Durant les contractions, je fais des pauses. J'enlace mon mari et enfuis mon visage dans son cou. Il s'arrête, me frotte le dos afin de me réconforter. Il ne sait pas trop quoi faire, ni quoi dire. Mais il est présent. Et c'est déjà super. 

    Nous retournons à la maternité. Je repasse une heure sous monito... On y voit à peine les contractions. Je suis ouverte à 1 cm. Une des sages-femmes voit que je souffre. Elle et sa collègue décident donc de me garder pour la nuit. "On ne va pas vous laisser rentrer chez vous avec des douleurs ! On va vous aider à accoucher !"

     

    ♦ Un travail laborieux

    Elles me passent donc en salle de d'accouchement/de travail. Je vois qu'il y a un ballon à ma disposition. Je me souviens de mon émission "La Maison des Maternelles" et des astuces qu'Anna Roy, sage-femme de l'émission, a partagée pour faire avancer le travail. Je commence de nouveau à faire des 8. Mon homme propose de me masser le dos. Il essaie. Mais non. Je l'envoie balader, car c'est trop douloureux. Les sages-femmes me proposent de passer en baignoire. L'eau a tendance à faire mieux avancer le travail. Et à rendre le travail moins douloureux. Je ne me souviens pas vraiment de combien de temps j'ai passé dans l'eau. Mais déjà pas mal. D'ailleurs, ça a assez bien fonctionné. Car grâce à la baignoire, j'ai encore gagné 1 cm. Par contre, la douleur... Je commence à perdre pied à cause de la douleur. Je crie dans la baignoire pendant qu'une femme dans la chambre à côté donne naissance à son bébé. Car entre mes contractions, j'ai eu l'honneur d'entendre le premier cri d'un nouveau-née. Je sors tant bien que mal de la baignoire avec l'aide d'une sage-femme et mon mari.

    On me repasse en salle d'accouchement. C'est donc là, que j'apprends que le travail avance lentement. Mais il avance. N'étant plus dans l'eau, les douleurs sont encore plus intenses. Les sages-femmes, témoins de ma souffrance, décident d'appeler l'anesthésiste. Je ne sais pas comment c'est en France. Mais en Belgique, vous devez être à 3 cm d'ouverture pour avoir la péridurale. Mais il est très tard dans la nuit, le travail n'avance plus. Car je souffre trop. Et que donc, mon corps est trop tendu. On me place donc la péridurale plus tôt. J'arrive tant bien que mal à me calmer le temps que l'anesthésiste me pose la péri. Je sais une petite piqûre dans le dos. De la chaleur. Puis je sens une pression. L'anesthésiste enfonce l'aiguille dans mon dos. ça n'est pas douloureux. Je sens juste qu'il fait son travail. Je me couche dans le lit. ça passe. J'ai environ 2 heures de répits. Pendant ce temps, je fais un call messenger avec Virginie, une des marraines de ma fille. Elle habite au Japon. Elle est super heureuse de savoir que la venue de la petite est imminente. Progressivement, je sens la douleur se réveiller. D'abord du côté gauche. Je préviens les sages-femmes. Elles vont voir pour rappeler l'anesthésiste. Progressivement, le côté droit se réveille. Je n'ai plus que ma jambe droite qui en endormie, lourde comme un cheval mort. Mon mari qui est juste à côté de moi ne sait pas quoi faire. Il me voit souffrir et hurler. Il m'avouera plus tard qu'il avait envie de rire nerveusement. Lorsque les contractions sont là, je le regarde dans les yeux. J'essaie d'y piocher de la force pour supporter la douleur. J'ai juste l'impression que tout mon ventre en train de se déchirer. D'ailleurs, si je peux donner un conseil aux personnes qui attendent un bébé. N'hésitez pas à suivre des cours de préparation à l'accouchement. Ne serait-ce que pour apprendre à gérer les douleurs. Ne comptez pas sur le fait que vous allez avoir la péridurale. Car on est jamais sûr à 100 % que cela va fonctionner. Les sages-femmes viennent, car elles m'entendent souffrir. Une plus jeune semble retournée de me voir ainsi. Je vois sa collègue beaucoup plus âgée lui demandée si ça va. Elles me disent qu'il faut que je patiente encore. Car l'anesthésiste est sur une urgence. Mais qu'il viendra dés qu'il aura finis.

     

    Mon 1ier accouchement - Bienvenue petite Rose

     

    L'anesthésiste revient. 
    - Alors madame ? ça ne va ? 
    - NON ! CONNARD ! Je t'ai appelé pour le plaisir ! Bon... ça c'était dans ma tête. En vrai c'était : "Non ! J'ai super mal !" Avec de grosses larmes dans la voix.
    - Oh ! Calmez-vous ! Autant vous dire que je n'ai pas spécialement bien pris sur le moment même la façon dont il m'a parlé. Mais je suis passé au-dessus. Car j'avais autre chose à gérer. Il me repositionne la péridurale. Mais j'ai vraiment beaucoup de mal à tenir en place tellement la douleur est intense. C'est la sage-femme plus âgée qui arrive (pour reprendre les termes de mon mari) à me dompter. La péridurale est remise. La douleur s'atténue. Ce n'est pas encore ça. Mais la douleur est supportable.

    Tôt, le matin, un autre anesthésiste vient. Il me semble jovial, sympathique. (J'apprendrais durant l'accouchement de mon fils que malheureusement, ce brave homme est décédé en avril 2020 de la covid.) 
    - Alors madame ? ça n'a pas été la péridurale ?
    - Pas trop non...
    - Attendez. Je vais voir pour vous soulager. Je le vois chipoter sur l'appareil. Une erreur qu'on fait souvent, c'est que les grandes personnes comme vous, ont un espace péridural plus important à remplir. Donc, je vais remettre du produit anesthésiant et le couper. Vous sentirez les contractions pour savoir quand pousser. Mais vous n'aurez pas la douleur.
    - Super ! En effet, quelques minutes après, je n'ai plus qu'un pincement en bas à droite du ventre. C'est top. 
    Les sages-femmes reviennent m'ausculter une nouvelle fois. Je ne sais plus précisément où j'en étais. Mais je devais être 5 cm. Car ça avait un peu avancer pendant les moments où je n'avais plus de douleur. 

     

    Vers 10 heures du matin, les sages-femmes me disent que le travail stagne. Elles me proposent donc de rompre la poche des eaux. Cela permettrait de faire en sorte que la tête de ma fille appuie un peu plus sur le col. Et donc qu'il s'ouvre plus vite. Elles le font. Et cela fonctionne très bien. Car je passe de 6 cm à dilatation complète en une heure. Les sages-femmes me proposent d'attendre encore 2 heures avant la poussée. Les paramètres vitaux de ma fille sont parfaits. Et je suis épuisée par la nuit douloureuse que j'ai eue. Elles me propose donc de me reposer avant le sprint final. Chose qui m'est impossible ! Je suis trop excitée ! Voilà 9 mois que je l'attendais !

     

    ♦ La poussée

    Vers 11h30, en parlant avec mon mari, je me rends compte que j'ai très envie de pousser. Je ne peux pas l'expliquer. C'est un besoin très instinctif. J'appelle les sages-femmes. Une arrive et je lui explique. Elle m'ausculte. Et elle voit que la tête de ma fille est encore haute. Mais qu'elle est quand même descendue. Elle s'assieds sur le bord du lit. 
    - On va essayer de pousser. Histoire de voir si vous poussez bien. Elle met ses doigts entre mes jambes. Je comprends qu'elle touche le sommet du crâne de ma fille. "Allez-y pousser là où j'ai mes doigts.". J'attrape les barreaux sur les côtés de mon lit avec mes mains. Je prends une grande bouffée d'oxygène. Et j'y vais. 
    - Ok. Super ! Par contre ! Arrêtez ! Car vous allez la sortir ! Et la gynécologue n'est pas encore là ! Je vais vite l'appeler. (Si j'ai bien compris, en Belgique, se sont les gynécologues qui peuvent sortir le bébé ou le placenta. Je ne sais plus.) Tout à coup, branle-bas de combat ! Les sages-femmes commencent à s'affairer dans ma chambre. Elle adapte le bout de mon lit en y plaçant les étriers. ça court dans tous les sens. Je pense qu'elles ne s'attendaient pas à ce que ça aie aussi vite. On me met les jambes sur les étriers. Je suis impatiente. Et j'ai toujours très envie de pousser. "Faut attendre madame !" 

    Une sage-femme se poste devant moi et regarde entre mes jambes.
    - Vous allez vite pouvoir pousser madame. Votre gynécologue est prévenue. Elle est en chemin. On voit bien la tête de votre ville descendre et monter avec les contractions. Je l'écoute excitée et amusée.
    - Un peu comme un calypo ? La sage-femme me regarde avec surprise. Et je vois qu'elle est amusée par ma réponse.
    - Oui... Un peu comme un calypo !

    Quelques minutes plus tard, je vois une femme qui me semble assez jeune entrée. C'est l'assistante de ma gynéco. C'est elle qui va m'accoucher. Car ma gynéco n'est pas encore là. Ma fille sort en 5 poussées. Je suis fière de moi. On me la pose sur le ventre. Tous ses premiers sont effectués avec elle sur moi. Sauf la mesure et la pesée. Je la regarde. La détail. Nous échangeons un regard. Curieuses l'une de l'autre. Mon mari qui n'est pas quelqu'un de très sensible est ému. Ma gynécologue arrive enfin. Je pousse un peu pour faire sortir le placenta. Elle me recoud. Car j'ai eu une petite déchirure. Celle-ci pourrait se soigner comme ça. Mais elle me fait 2 points de suture pour que ça soit plus confortable pour moi quand j'irais à la toilette.

    Quelques minutes après la sortie de ma fille, j'endors. ça faisait 36 heures que je n'avais pas dormi. 


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  • 40 + 1

    Attention ! ça va encore parler grossesse et mouflet ! Je préfère prévenir au cas où le sujet embêterait. 

    Je suis à 40 semaine + 1.  Youhou... erf C'est quand tu veux pour sortir mon pépère ! On dirait bien que bébé est prêt à profiter encore un petit peu du buffet à volonté et du Jacuzzi. Je me réjouis de le voir. Mais j'ai très envie d'être... Libérez délivrez comme dit la chanson. (Désolé si je vous l'ai mise en tête !) Il est clair que je me réjouis de le voir. Mais entre... les nuits de merde, la fatigue qui vient très rapidement, toute la fragilités psychologique qui découle de la fatigue, les infections urinaire qui provoquent des contractions, le fait d'être debout qui provoque AUSSI des contractions. Des contractions ! Super vous allez dire ! Qu'attends-tu pour marcher ! Une sage-femme de la clinique où je vais accoucher m'a dit que globalement, ça ne servait pas à grand chose. Car ces contractions ne sont pas du vrai travail. Même si ça peut le provoquer du vrai travail. Mais au bout de combien de temps ? Et qu'à part me faire souffrir, il n'y avait pas grand chose à faire à part attendre. Vous aurez donc bien compris, que j'en ai marre d'être enceinte et que je n'ai qu'une envie... Qu'il sorte !

    Je pourrais rendre ça plus mignon et plus commerciale. Je pourrais vous idéaliser le truc en vous disant que la grossesse c'est super ! Que c'est trop bien d'être enceinte. Effectivement, jusqu'à 8 mois, c'est chouette. Passé ce temps, j'en ai marre. (Bon ok... Je me suis rendue compte de ma grossesse qu'à 22 semaines. Mais c'est parce que je n'avais aucun symptôme qui soit réellement incommodant ou significatif qu'à la grossesse.) De part ma franchise sur le sujet, j'ai bien envie de vous faire comprendre la réalité de la grossesse. Ma réalité tout du moins. 

    Pendant un moment, j'ai culpabilisé de mon état. Pas plus tard qu'avant hier, je disais à mon homme en m'appuyant sur le plan de cuisine lors d'une contraction : "Putain ! J'en ai marre ! Mais je ne devrais pas dire ça ! Des femmes voudraient être à ma place!" Et il m'a gentiment rappelé en me prenant dans ses bras, que ce n'est pas parce que d'autres personnes vivaient des choses compliquées différentes des miennes que je n'avais pas le droit de me plaindre. J'ai un homme incroyable qui est d'un soutien monumentale. C'est mon pilier ♥

    Du coup, pour le moment, je passe ma vie dans mon canapé à regarder Netflix. (Je me remate Lucifer) ou sur mon pc portable (Quand Rosinette me laisse bosser.) à préparer des articles pour mon blog. D'ailleurs, il y en a 2 cools qui vont arriver cette semaine ! :D Je me réjouis de vous les partager. ♥

    Sinon, du coup, comme bébé dragon joue les prolongations, à partir de hier, j'ai un monito à faire un jour sur deux. J'en ai donc un demain chez ma gynéco. Et le prochain se fera à l'hôpital. Histoire de vérifier que bébé va bien. 


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  • 39 + 2

     

    Attention ! Voilà encore un article chiant qui va parler mouflet ! biggrin Mais pas que ! Promis ! Hihihi ! Bon ! Je suis enceinte de 39 semaines et 2 jours. Pourquoi suis-je aussi précise ? Tout simplement parce que c'est à ce stade que ma petite Rose est née. Mais bébé dragon semble encore être bien dans mon ventre même si je sens que ça travaille un peu. Mercredi passé, ma gynéco m'a ausculté : "ça n'a pas bougé !" Au monito, le petit allait bien. Bon bah... On va attendre hein ! La date du terme est pour 17 avril. Ma gynéco avait aussi vu que je souffrais d'une infection urinaire. C'est un truc assez courant quand on est enceinte. Et ça se soigne facilement. Un médicament à prendre le soir et hop ! Plus rien le lendemain matin !  Et j'ai contracté un peu moins après ça. Souhaitez-moi d'accoucher cette semaine ! Que je sois libérée délivrée ! biggrin

     

    39 + 2

     

    J'ai commencé à bosser sur un sympathique projet sur les Sims 4. Le beau mâle que vous voyez au-dessus s'appelle Rowen. C'est un des personnages du jeu Shadowverse. Un jeu de cartes auquel je joue pour le moment. J'ai commencé à jouer l'histoire de ce personnage. Et du coup, j'ai eu très envie de l'adapter dans les Sims 4. Et je suis assez contente de mon début. ça sera un perso avec des compétences assez avancées. Vous pourrez l'ajouter dans votre jeu un peu comme un pnj. Ou alors poursuivre l'histoire que j'ai commencé à lui écrire. Je lui ai également fait une maison. Truc cool aussi, il n'y aura pas de ccs ! J'espère donc ça vous plaira ! Les subs et Firetiprs ont déjà eu accès à l'ébauche de l'article. Et ça semblait plaire. ^^

     


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  • Suspendue !

     

    Désolé, si je passe mon temps à vous parler mouflet, bides de grossesse et insomnies... Mais c'est un peu ce qui rythme ma vie pour le moment. Je dors bien 2 nuits... Puis j'en ai 3 hautement dégueulasse. J'ai toujours des contractions un peu n'importe quand. (Même quand je suis dans un bain ! WTF !) Et c'est ultra chiant ! J'ai envie de dire... Bon ! My beautiful body ! Tu te lances oui ou merde ?! On le pond ce gamin ou pas ? Il me tarde donc d'être mercredi pour voir la gynéco et avoir son avis. Mon idéale serait qu'elle m'envoie à la mat' en mode "oulalala ! Vous êtes bien ouverte ! Faut y aller !" Mais je n'y crois pas trop.

    Je me sens donc comme suspendue dans la temps entre ennui et fatigue. Et je n'ai littéralement le courage de rien. Je n'ai pas le mood pour stream. (Sauf quand j'ai bien dormi.) Et je n'ai aussi envie de rien. Je me suis surprise ce lundi de Pâques. A zapper sur Netflix et Youtube parce que je ne trouvais rien qui featait avec mes envies et mon humeur. J'ai passé mon temps à regarder sur le net comment favoriser le démarrage du travail. J'ai trouvé pas mal de chose que je fais déjà. C'est peut-être ça qui fait que je contracte un peu. Concrètement, j'ai vu que manger des dattes, boire des infusions de feuilles de framboisier et faire du ballon étaient des choses qui aidaient. Et je les fais déjà ! Et à 38 semaines... Je me vois mal débarquer à la mat', en mode... "Décolles-moi les membranes bitch !" 

    Mes activités actuelles consistent donc à jouer à Animal Crossing, prendre des bains... Marchez en prenant des pauses pour dire : "Aïe ! Putain ! Fais chier ! Je contracte ! Pffiiiioouuuuuuuu..." Et essayer de m'occuper de ma fille. Je traîne aussi beaucoup sur instagram ! C'est vrai ! Et j'ai recommencé à jouer à Shadowverse. (jeu de carte gratuit au graphisme assez cool. Vous le trouverez sur Steam.)  

    Bon... Je râle de la situation. Mais je vais encore plus péter des câbles le jour où mon fils aura décidé de pointer le bout de son adorable nez. Surtout si la péridurale fonctionne aussi bien que pour ma fille. /ironie Bon, j'exagère... Elle a bien fonctionnée ! Mais pas tout le temps...


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